Mélisandre Valerian [Hll/ Paradise Lost]

I. Renseignements généraux
± Nom :Valerian
± Prénom :Mélisandre
± Surnom :la vipère rouge/ Alyssa
± Âge :27 ans
± Race :Hors-la-loi
± Clan :Paradise Lost
[±] Rang souhaité :Médecin du Paradise Lost

II. Descriptions
± Description physique :Mélisandre attire le regard, indéniablement. Pas par sa corpulence (1m65 pour une cinquantaine de kilos), mais par ses cheveux de feu, aux boucles lourdes et rutilantes et ses prunelles émeraude, semblables à celles d'un félin. Des yeux fascinants qui éclairent un visage au teint pâle, aux traits fins, aux pommettes hautes et au nez droit. Un visage aux traits de madone d’où se dégage un air mystérieux grâce au petit sourire en coin de la belle hll aux lèvres pulpeuses et invitantes.

Il se dégage d’elle un charme et une assurance peu commune. Pourvue d’atouts qui ne manquent pas de poids, elle sait se servir de sa beauté pour arriver à ses fins. Mélisandre a un corps aux courbes harmonieuses, aux fesses fermes, au ventre plat, à la poitrine généreuse. Un physique que d’aucun qualifieraient de sulfureux.Afin d’accentuer encore l’effet qu’elle provoque, elle porte toujours des robes d’un rouge éclatant, largement décolletées et fendues jusqu’aux cuisses. Des cuissardes viennent s’ajouter à ce tableau déjà alléchant.


± Description caractérielle :Mélisandre est charmeuse et arriviste. Elle aime se servir des autres pour arriver à ses fins. Paradoxalement, elle peut être capable d’une grande bonté et d’une grande générosité envers ceux qui arrivent à percer sa carapace et à découvrir la jeune fille en elle. D’apparence froide, elle peut entrer dans une colère noire pour un rien, défaut qu’elle partage avec sa race. La jeune femme a changé avec les récents évènements. La haine la porte et l'aide à ne pas s'effondrer devant tout ce qu'elle a perdu. Patiente, elle sait attendre pour frapper au moment opportun. Elle n'a aucun remord à tuer ceux qui se mettent sur sa route, mais adore son métier qui lui permet de sauver des vies. Tour à tour hautaine ou compatissante, elle reste un mystère. Mais n'est-ce pas ce qui fait son charme?

± Histoire :

Mélisandre est née en Adhénor, dans une famille aimante et aisée qui désirait cette enfant depuis longtemps déjà. Hélas, il semble que tout bonheur doit avoir un prix, aussi la mère de Mélisandre mourut-elle en couche. Son père, fou de chagrin, reporta toute son affection sur l’enfant. Une affection étouffante que la petite fille ne comprenait pas et qui devint insupportable à l’adolescence.
La jeune fille gagnait chaque jour en beauté, en force et en agilité, bénéficiant des meilleurs enseignements possibles, que ce soit pour les lettres ou pour les armes. Mais l’amour de son père était de plus en plus pesant. Il voyait en Mélisandre sa chère femme disparue et multipliait les preuves d’amour à son égard. Jamais il n’osa s’introduire dans sa chambre et tenter de lui voler sa pureté. Son amour restait platonique, utopique, mais la jeune fille en souffrait. Souffrance d’autant plus grande que les sorties lui étaient interdites et la fréquentation des garçons aussi, par la même occasion.
Seulement à 16 ans, on rêve de liberté… aussi s’enfuit-elle un soir, ignorante des dangers en dehors du domaine familial, la tête pleine de bêtises amoureuses, sorties tout droit des romans. Ce qui devait arriver arriva. La jeune fille naïve tomba sous le charme d’un beau garçon, beau parleur. Après les premiers temps d’amour idyllique, son compagnon se fit moins tendre, plus exigeant. Il en avait assez de l’entretenir et il était temps qu’elle gagne un peu sa vie. Oh, il ne lui demandait pas d’effectuer un travail difficile, juste de faire quelques « gâteries » à ses « amis ». Ce que la pauvre Mélisandre, folle d’amour, se résolut à faire. Et là commença une longue descente aux enfers, jalonnée d’humiliations, de sacrifices, de larmes amères. L’amour pour son compagnon avait fait place au dégoût, puis à la haine. Mais aussi à la peur. Une peur insidieuse, paralysante. Cela faisait déjà un moment qu’elle avait compris qu’il se jouait de ses sentiments, surtout quand elle avait rencontré ses ex-conquêtes…et ses nouvelles. Deux choix s’imposèrent à elle : pleurer sur son sort, être une victime et mourir à petit feu ou bien relever la tête, devenir actrice de son destin. Mélisandre était une battante… Les larmes firent place à la froideur, à l’indifférence. Sa langue devint acérée, son attitude provocatrice. Mélisandre apprit à dissocier son âme de son corps lors de son « travail », une manière de se protéger sans doute. De par son attitude, elle devint la coqueluche des clients. Tous se bousculaient pour passer la nuit avec « la vipère rouge », jeune femme froide, provocante, aguicheuse, impressionnante. Elle avait réussi à se faire respecter, ce qui n’était pas un mince exploit lorsqu’elle songeait aux pauvres filles retrouvées éventrées, étranglées pour ne pas avoir su captiver leurs amants.
Après quatre ans de cet enfer, la roue tourna. Des « tueurs » firent irruption chez le maquereau et le tuèrent, lui, et ses clients. Mélisandre ne dut sa survie qu’au hasard qui l’avait envoyée au dehors en compagnie d’un autre client. La jeune fille comprit en un éclair qu’elle tenait sa chance. Elle égorgea son « client » et s’enfuit, craignant que les « tueurs » ne la rattrapent. Ses pas la portèrent naturellement chez son père. Elle trouva porte close. Et à force de questions, apprit qu’il était mort, 2 ans auparavant. De chagrin et de remords. Mélisandre ne versa pas une lame. Ce n’était pas de l’indifférence, non. Trop de sentiments se bousculaient en elle. Amour, culpabilité, remords, haine. La jeune femme entra dans une colère noire. Elle retourna chez son souteneur. Les tueurs étaient partis, la milice pas encore arrivée. Elle se glissa dans les appartements. Partout, des cadavres ensanglantés s’offraient à sa vue. Cadavres d’hommes, de femmes, ses collègues… de vampires, hommes et hors-la-loi confondus. Les tueurs ne faisaient pas dans la finesse… Elle enjamba les morts, prit leur argent et tomba sur son ancien amour. Il était toujours aussi beau malgré ses plaies béantes. Elle le bourra de coups de pieds, laissant éclater sa rage. Quand elle fut calmée, il était méconnaissable. Elle repartit, son ouïe surdéveloppée, lui ayant indiqué que l’on approchait. Elle erra durant des heures avant de prendre une décision. A nouveau son instinct de survie la guida. Elle se fit tatouer une vipère sur la hanche… et se mit en quête d’un clan. Aucun ne lui semblait bon, mais elle devait en choisir un. Elle ne haïssait pas les humains. Ses souffrances ne venaient pas d’eux. Elle n’était pas vraiment belliqueuse. Aussi son choix se porta-t-il sur l’EDEN. Ensuite, il lui devint évident qu'il fallait qu'elle se débarasse de son ancienne vie. Aussi traqua-t-elle tous ses clients, les exterminant sans pitié, de façon sournoise, telle un serpent.



Elle devint médecin à l’Eden, gagnant le respect de ses pairs, une vie confortable et de l’argent à foison. Elle pouvait sauver des dizaines de vie par jour et aussi vite les retirer. Etrange paradoxe que cette rousse sulfureuse. Sauver et tuer…



Puis vint la capture des Butterfly. Quand Gaïa s’allia à Sïan pour les récupérer, Mélisandre suivit tout naturellement. Elle était une Hll, et même si elle préférait la sournoiserie, elle savait se servir de ses griffes. Ainsi commença l’assaut. C’était la première fois qu’elle participait à une bataille de ce genre. Il y eut de nombreux morts et plus encore de blessés. Apparemment, son ange gardien veillait sur elle ce jour là car elle ne fut que légèrement blessée. Et devant tant de ses compagnons morts, elle ressentit une impuissance terrible et une rage meurtrière. Impossible de les sauver, elle devait penser à sa propre vie. Ainsi abandonna-t-elle ceux qu’elle aurait pu sauver.



Elle pensait que le pire était passé. Elle s’était trompée.



L’Eden explosa et avec lui tous les idéaux de ce clan. Encore des vies d’arrachées…



Mélisandre survécut. Et elle se rendit compte qu’elle avait tout perdu. Plus de QG, plus d’Eden, plus d’hôpital, plus de statut social, plus rien. La rage au cœur, elle ne put se résoudre à abandonner et rejoignit tout naturellement les restes de ce qui avait été son clan. Cela ne lui apporterait peut-être rien au niveau social, mais elle ne pouvait abandonner ceux qui l’avaient acceuillis. De plus l’hll était persuadée que Gaïa saurait parfaitement reprendre les choses en main. Ainsi rejoignit-elle la chef de l’Eden, rebaptisé le Paradise Lost. Elle devint Alyssa, appartenant ainsi à la loge A.

Le chaos régnait en maître et alors que l’on pensait que cela ne pouvait pas être pire, on comprit qu’on avait tort. Un ouragan ravagea la ville, soufflant son vent de mort et de maladie sur Leidenstal. Et Mélisandre découvrit un nouvel ennemi, bien plus sournois : la peste…



III. Dans la vie courante
± Style de combat :Fluide, aérien, tout en finesse. Mélisandre se bat avec agilité et grâce, semblant danser. Mais, elle n’a pas encore eu l’occasion de mettre ses talents à contribution et hésite à le faire, préférant tuer par ruse et par trahison.
± Relations : Mélisandre, malgré sa froideur, peut facilement nouer des relations. Ainsi connait-elle encore quelques membre de l'Ex-Eden encore vivants comme Ezel Verian ou Kalced et bien sûr Gaïa. Elle a aussi rencontré le Butterfly E qu'elle a sauvé un jour.
± Signes particuliers :Charmeuse et aguicheuse, peu d’hommes lui résistent.
Mélisandre porte des bagues à poison, mortel ou non. Elle a une affection toute particulière pour les serpents et se procure du venin au marché noir...

D'ailleurs, elle a un serpent enroulé tatoué sur le poignet.

IV. En plus
± Créature suivie : Faut voir quelle créature est libre...

Toutes les créatures sont libres pour l'instant. Il faudra t'arranger avec Gaïou pour voir quelle créature la loge suivra ^^

Voila, voila bon jeu sur ce perso ! ^^

Merki

il faudrait le nom de code (initiale en A) dans la section surnom aussi...

C'est bon, c'est édité
Au passage, ton avatar est mieux que celui d'avant (selon mon humble avis bien sûr)

Merci :p

Nouveau fofo, nouveau look...